OWN DESTINY -
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


HIATUS
 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Un nouveau contexte a été mis en place ! Venez le lire ICI et donnez votre avis ICI

Le staff' chéri d'Own Destiny ...
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Partagez | 
 

 « Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


AnonymousInvité
Invité



«  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » _
MessageSujet: « Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! »   «  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » EmptyDim 24 Oct - 0:45

" The Bad Boy Return ! ♥♥ "

«  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » Regardbleuacier «  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » Candice-candice-accola-16323419-100-100

      Hum, qu’est je fiche là, exactement ?

      Seul, dans le couloir, planté là, comme un… idiot. La bouche légèrement ouverte, les yeux écarquillés, fixant un point imaginaire, les bras ballant, les jambes bien droites, ne bougeant pas d’un centimètre. Un fantôme. Un vrai mort ! Ha, quelle ironie du sort ! Et en plus, j’arrive à faire des rimes même en faisant de la prose ! Ah, qu’est ce que je suis doué… La modestie ne m’étouffe pas non plus ! Non, très sérieusement, en ce moment, ça ne vas pas, je ne suis plus l’ombre que de moi-même… Hum, je n’aimais pas ça mais alors vraiment pas ! Ca ne me ressemblait pas, j’étais juste quelqu’un d’idiot, dans ce genre de position, et de réaction surprenante. Je me sentais bien trop humainement banale, comme cela.

      & ça, ce n’est pas franchement un sentiment idéal.

      Trop perdu dans mes pensées, comme d’habitude, mais d’ordinaire toujours bien enraciné dans la réalité tout de même, j’avais lentement monté une à une les marches de notre immense escalier, celui de la pension dans laquelle nous résidions, mon frère Stefan Salvatore et une autre personne, dont je vous parlerais tout à l’heure, n’ayez crainte, et m’étais arrêté soudainement, en plein milieu du couloir.

      Pourquoi ? Ah, mais un peu de patience, mes amis, vous saurez tout plus tard…

      Mais il faut bien avouer, avec dégoût de ma part, bien entendu, mais je suis franc tout de même, qu’en ce moment, ce n’est plus le grand Damon Leonardo Salvatore qui se présente devant les minettes de la ville et pavane comme un seigneur et pacha que je suis fier d’être. Non, effectivement, je ne suis plus vraiment le même, et je le ressens à la perfection. Je me sens bouleversé, pour la première fois, depuis très longtemps. Oublié le Damon sûr de lui, pour de vrai, et pas qu’en apparence. A présent, ma faiblesse d’humain a inexorablement reprit le dessus, et je ne peux le supporter plus longtemps. Alors, forcément, en ce moment, parfois, je me perds et me replonge un peu dans mon passé, repensant à cette fabuleuse et critiquable Katherine, à Elena, à mon frère, à ces histoires de sorcières, de loups-garous, de vielles légendes, de trucs pas nets…

      Rien ne va, et même si je m’efforce à faire comme si tout allait bien, c’est loin d’être le cas. Et parfois, il m’arrive de m’arrêter, en pleine nuit lorsque je chasse, ou alors en pleine journée quand je suis dans la rue, me rendant compte qu’aujourd’hui, rien n’est « normal » dans mon monde.

      Et je viens de me rendre compte de cette vérité en entendant le son de la douche se faire entendre. Vous savez, le bruit de l’eau qui coule frénétiquement et qui vient s’écraser contre les parois de la douche. Et puis, ce n’est pas ce simple détail qui me perturbe, loin de là. Il y a juste à l’intérieur de la cabine de douche une personne assez particulière, à mes yeux…

      Caroline Forbes.

      Une jolie vampire, nue, dans la douche, dans la pièce juste à côté de moi. Caroline Forbes, qui était une humaine… Qui a été transformé à ses dépends. Comme ça, par hasard… Sans qu’elle le décide, tout comme moi.
      & puis, il y a moi ! Seul, dans le couloir, alors qu’une jolie et parfaite blonde est nue, à deux mètres de moi…
      Non, il n’en faut pas plus pour me tenter.

      Décidé, je m’approche de la porte de la salle de bain et l’ouvre tout doucement, sans me faire remarquer, et entre dans la pièce étouffante, alors que Caroline est dos à moi, ne m’ayant même pas remarqué.

      Je sens que je vais enfin rire un peu, aujourd’hui…
Revenir en haut Aller en bas


S. Hope ScottS. Hope Scott
Barbie Mermaid »

« où te trouves-tu? » : Près de la côte
« tu as blablater durant » : 52
« tu es arrivé le » : 17/10/2010


Tell me your secret
« ta vraie nature » :
« un signe particulier? » :

«  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » _
MessageSujet: Re: « Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! »   «  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » EmptyDim 24 Oct - 14:00

    Le soleil brillait sur Mystic Fall's aujourd'hui et je n'eus aucun mal à sortir de mon petit lit douillet. Je caressais mes cheveux et regardais mon plafond. L'ennui était en train de me gagner et je ne savais pas ce que j'allais pouvoir faire. Je voulus aller réveiller Stefan, pour aller lui raconté ma mésaventure avec Katherine la veille, mais cependant se n'était pas dans mes priorités. Je me levais de mon lit, allant directement vers mon dressing. Je sortis un petit top blanc accompagné d'un caraco rose. Je pris une jupe blanche et les déposais sur mon lit.

    Je me regardais ensuite dans mon miroir, regardant mon visage parfaitement réveillé et mes lèvres magnifiquement douces. Matt me manquais, ma mère me manquais, Bonnie me manquais, tout mes amis me manquais. Un bruit dans la pension me fit sursauté. J'analysais l'odeur, sûrement le Salvatore le plus sexy de la maison. Un sourire charmeur se dessina sur mon visage, je m'efforçais de le faire disparaitre au plus vite.

    Je descendais en hâte dans la réserve secrète de Damon, me servant rapidement un petit verre puis remontais, à la même vitesse dont j'étais descendu, dans ma chambre. Arrivé à cet endroit, je me déshabillais, ne prenant pas garde au fait que Stefan et ou Damon puisse me surprendre. Je jetais mon top vert et le shorty blanc qui l'accompagnait dans un coin de la pièce. Ensuite, j'avançais d'un pas lent vers la Salle de bain que j'utilisais depuis mon arrivée.

    C'était une douche, une simple douche. J'aurais tellement espéré avoir une baignoire à la place, mais ce n'était pas le cas. Je me mis alors sous la douche, ne mettant pas le rideau, celui-ci ne me servant à rien. L'eau chaude sur mon corps parfait, me fis le plus grand bien. Une odeur de vanille flottait dans l'air après que j'en eu versé le contenu entier d'un flacon sur mon corps. Un shampoing à la violette accompagnait cette odeur des plus agréables. Je me mis à chantonner une mélodie sous la douche, me laissant aller dans l'étreinte des effluves les plus palpitantes que mon corps est reçu.

    J'entendis un bruit non loin de moi, mais n'en pris pas garde. Sûrement un oiseau. Après tout, la Salle d'eau possédait une fenêtre menant à l'extérieur. Mon stress disparut faisant place à tout mes souvenirs les plus heureux. C'est alors que je me sentis observé.

    Je restais dos à la personne, essayant de faire mine de rien. Qui pouvait bien m'observer ? Un seul pervers était capable de me surprendre comme ça. Je me retournais d'un coup, à une vitesse affolante prenant le flacon de vanille et lui envoyant en pleine face.

    " Espèce de .. Espèce de … Comment ose-tu ?! "

    Je regardais alors son sourire peint sur son joli visage si charmant si sensuel si … Je me mis à rougir. Tout du moins, si j'avais été toujours humaine je me serais mise à rougir. Je cachais alors mes parties intimes prise au dépourvue.
Revenir en haut Aller en bas


AnonymousInvité
Invité



«  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » _
MessageSujet: Re: « Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! »   «  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » EmptyMar 26 Oct - 19:48

De plus, je n’avais pas remarqué quelque chose, ce petit détail si insignifiant, mais tout de même important : Caroline chantait. Elle chantait, d’une voix douce, juste, agréable. C’était sûrement ce petit bruit qui m’avait forcé à m’arrêter dans le couloir, tout à l’heure, maintenant que j’y repensais… Oui, c’était sa voix qui m’avait fait perdre mes repères. Elle chantait toujours, même lorsque j’étais entré dans la salle de bain, et que du coup, mon odeur se faisait plus présente… Elle devait déjà m’avoir reconnu, devait m’avoir senti… En quelque sorte.

Et pourtant, elle ne s’était toujours pas retourné et continuait de chanter, tranquillement, l’eau chaude s’écoulant doucement sur son corps parfait, sa chair si bien proportionnée, ces formes si sublimes… Une drôle d’odeur flottait doucement dans l’air et je mis un temps fou à reconnaître le parfum agréable de la vanille et de la violette.

Hum. Qu’est ce que cela était agréable.

Je mordais doucement ma lèvre inférieure, profitant de la vue, puisqu’elle n’avait pas fermé le rideau, et cela m’arrangeait donc bien, et continua de l’observer longuement. Mais soudainement, et je ne sais absolument pas pourquoi d’ailleurs, Caroline se figea, instantanément, mais ne bougea pas. Je pensais qu’elle allait tourner la tête sur le côté, s’apercevant de ma présence. Je m’attendais à de bons nombres d’hurlements, ou au moins, à des… réactions, tout simplement. Mais elle ne bougea pas de suite, réfléchissant sûrement à la personne qui pouvait bien l’observer…

Elle n’avait pas toujours deviné que le personne, c’était moi ?

Hum, je suis vexé, dis donc !
Et, soudainement, je sentis Caroline se retourner à la vitesse de l’éclair, me balançant en pleine face un flacon entier de gel douche. Mais avec vivacité, je réussi à me détourner du gel, et à garder une posture calme et sereine, gardant toujours un petit sourire.
Caroline m’avait bien reconnu et me dit, la voix faible :

" Espèce de .. Espèce de … Comment ose-tu ?! "

Elle cachait tant bien que mal ses parties intimes avec ses mains et je me délectais de cette scène, laissant mes yeux dévorer son corps. Riant un peu, je lui dis :

- Mais j’ose, tout simplement. Je n’ai pas besoin de raisons. Enfin si : Voir un corps comme le tien, c’est… vraiment appréciable.
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé




«  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » _
MessageSujet: Re: « Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! »   «  Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! » Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

« Un deux trois, promenons-nous par là… Quatre, cinq, six, déstabilisons Blondie ! »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
OWN DESTINY -  :: Corbeille :: La malle aux trésors-